Qu’est-ce qui vous a intrigué dans cette période et ce répertoire de début de siècle ?
L’humour ! il n'a pas pris une ride ! et aussi une liberté de parole, une désobéissance convenable, tolérée mais libératoire.
Comment s’est passée l’écriture de votre spectacle, entre le récital et le stand-up ?
C'est sans cesse de la réécriture, à chaque représentation, j'improvise un peu et selon ce qui marche ou non j'épure ou je garde. D'ailleurs selon les lieux, l'ambiance, je me permets des modifications pour coller au mieux avec ce que me dit mon instinct.
Avez-vous une figure de ‘diseuse' de prédilection ?
J'ai un faible pour Marie Dubas qui fut la principale inspiration de Edith Piaf. Une reine du music-hall, deux heures sans micro, jubilatoire !
